Il paraît que les écologistes sont rétrogrades. Qu’ils veulent revenir au modèle Amish. On dit d’eux qu’ils sont des amateurs, un mix de baba cool et de zadistes. Pourtant, ils sont désignés comme l’ennemi numéro un du pouvoir…
Mais un adversaire n’est-il pas une alternative ? Pour la décrire, Julien Bayou prend la plume. Il déconstruit les attaques, décrit la révolution de velours dont la France a besoin. Car, après des décennies de crise qui ont abîmé l’idée même de progrès, l’écologie trace un chemin d’espoir !
QUELQUES EXTRAITS :
« Au nom des plus jeunes et plus encore au nom des générations futures, il y a urgence à rétablir la justice pour toutes et tous. »
« Quand aucun dirigeant politique ne prend ses responsabilités et qu’une adolescente suédoise, Greta Thunberg, les renvoie à leur inaction coupable, ils lui intiment de retourner en classe et se moquent de son physique. »
« Après chaque crise, les dirigeants néolibéraux ont accéléré et amplifié ce qui les avait pourtant précipités dans le vide ; en affaiblissant les communs et en rajoutant davantage de responsabilité aux individus. Leur culpabilité n’est pas une hypothèse : elle est avérée, consignée, documentée en long et en large. »
« Il faut sortir de l’agriculture industrielle. Pas par idéologie, mais par pragmatisme alimentaire. (…) L’agriculture industrielle emploie trois quarts des terres mondiales et épuise 80% des ressources en eau pour nourrir seulement 25 % de la population mondiale. A contrario, l’agriculture paysanne n’exploite qu’un quart des terres et 20 % des ressources en eau pour nourrir 75% de la population mondiale. »
« Nous voulons respirer, circuler, manger mieux, nous soigner et nous instruire vraiment gratuitement. Nous sommes pour la fin de l’exploitation, du vivant comme des hommes sur les femmes, du capital sur les travailleurs. »
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